Marco D'Agostin First Love

Season 23 24
Show
First Love de Marco D'Agostin
It’s the story of a young man in the 1990s who didn’t like football but cross-country skiing and dance. In 2002, the Italian skier Stefania Belmondo won a gold medal at the Olympics. Marco d’Agostin pulls from this mythical victory to create an unclassifiable show featuring dance, performance art, sport and a diary where he discusses nostalgia and the desire to push the envelope.

location

time

45 min

category

  • Dance-Theatre
Dates
  • 18h00
  • 15h00
    Full price
    32 €
    Under 30
    18 €
    Job seeker
    20 €
    Social minima
    14 €
Session translated into French sign language
Screening with audio description
Meet the artists after the show.
School session
Session with adapted subtitle

Originally performing as a dancer and performance artist, Marco d’Agostin embarked on his own creative journey in 2010, brilliantly easing his way up to the front line of Italy’s stage landscape. His repertoire, which speaks to a deep interest in the role and functioning of memory, currently includes a dozen pieces, including the widely praised duo Avalanche (2018). With First Love (2018 as well), Agostin pays an offbeat tribute to his childhood idol, cross-country ski champion Stefania Belmondo, who received three medals at the 2002 Winter Olympics in Salt Lake City. A teenager at the time, he went cross-skiing himself. With the movements he once performed still ingrained, he now reinterprets onstage the 15 km event where Stephania Belmondo delivered her most outstanding and gold-winning performance. This unclassifiable piece slaloms freely between theater, dance and performance, both artistic and athletic. Equally funny and emotive, it’s an invitation to meditate on the passage of time and the desire to push one’s limits.  

 

 

Jérôme Provençal 

Marco d'Agostin, chorégraphe, athlète et acteur, a réalisé un véritable reportage radiophonique sur le légendaire exploit olympique de Stefania Belmondo, championne de ski de fond à Salt Lake City en 2002. D'Agostin, qui, enfant, était tombé amoureux de la championne et de son exploit, non seulement raconte en direct et en détail l'exploit sportif, mais il revit au fur et à mesure les mouvements, les efforts, les tensions de l'athlète, qui deviennent une danse étrange et abstraite devant le public qui, en même temps, suit les émotions et les aventures de l'athlète au fur et à mesure que nous les écoutons, dans un balancement entre réalisme et poésie, entre le corps et la parole, vraiment original. 

Anna Bandettini, La Repubblica online, juillet 2019

D'Agostin raconte une histoire intime et privée, immergée dans la résonance publique de l'événement sportif, en tissant avec douceur et pertinence une trame affectueuse entre le corps et la voix. Tous deux dans une étreinte solidaire qui fait gonfler le cœur jusqu'à la chute légère et douce de la première neige. 

Walter Porcedda, Gli Stati Generali  

Sans céder à la vanité du souvenir ni à celle du geste pur, la danse fusionne alors le corps avec une virtuosité de la voix qui, en parfaite harmonie avec le mouvement, reproduit le son de la retransmission de la course qui a vu la victoire de la skieuse Stefania Belmondo aux Jeux Olympiques d'hiver de 2002. Le regard du spectateur devient alors amusé, suspendu entre la maîtrise de la danse et la ferme délicatesse avec laquelle Marco D'Agostin sait insuffler à son œuvre la possibilité d'une rencontre entre la chorégraphie et le mot. 

Gaia Clotilde Chernetich, Doppiozero